l’aile des vierges

Résumé de la maison d’édition Pocket :
« L’aile des vierges », c’est ainsi que l’on surnomme les chambres réservées aux domestiques à Sheperd House, illustre manoir du Kent où est engagée Maggie Fuller au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Petite-fille de suffragette, fille d’une sage-femme féministe, Maggie aurait pu prétendre à mieux que cette place de femme de chambre. Mais, en ces temps difficiles, la jeune femme cultivée et émancipée n’a d’autre choix que d’intégrer la petite armée d’intendants semblant vivre au siècle précédent. Elle aspire pourtant à un autre destin. Et elle n’est pas la seule au sein de Sheperd House… Contre toute attente, ce pourrait être le début de son long chemin vers l’amour et la liberté.
Go Maggie, go !
J’ai dévoré ce roman qui n’est pas sans rappeler Downton Abbey. Je me suis attachée à l’amoureuse Maggie et à son besoin de liberté. A un moment, j’ai eu peur de tomber dans un Arlequin mais au final non, je me suis laissée emporter par l’histoire. Est ce que ce livre est trop romantique ou suis- je devenue cynique pour ne pas y croire…
La référence du livre
L’aile des vierges de Laurence Peyrin aux éditions Pocket
Autre livre de Laurence Peyrin
Laurence Peyrin nous emmène en Floride dans les années 60. Elle a choisi ce Sud gorgé de soleil et de Key Lime pie pour nous raconter l’histoire d’une trentaine de retour chez ses parents et qui va faire une rencontre étonnante pour son milieu et pour l’époque. Une lecture idéale pour un week-end automnal.
- Requiem de Tony Cavanaugh
- Tuer Jupiter de François Médéline
- Marx et la poupée de Maryam Madjidi
- Un peu, beaucoup à la folie de Liane Moriarty
- Faux départ de Marion Messina
l’aile des vierges