La petite fille - Bernhard Schlink

Je te présente La petite-fille de Bernhard Schlink aux éditions Gallimard. 

J’ai découvert Bernhard Schlink grâce au Masque et à la plume. Jérôme Garcin recommandait de lire tout Bernhard Schlink. Je suis très peu leurs recommandations. mais l’ancienne allemand LV1 a suivi ce conseil.  Au printemps, j’ai lu son grand succès Le liseur et ensuite Olga. Je recommande !

Dans La petite-fille, Kaspar découvre au décès de sa femme qu’elle a eu une fille avant lui. Avant de s’enfuir de RDA pour le rejoindre à l’Ouest. Le libraire décide de poursuivre le projet de sa compagne et de la retrouver. Il part en ex-Allemagne de l’Est à la recherche de sa belle-fille. Il la retrouve marié à un néo-nazi et vivant dans une communauté. Elle a une fille adolescente. Kaspar va tenter de créer une relation avec sa petite-fille et tenter de l’ouvrir à un autre monde que celui de l’idéologie d’extrême droite.

Dans ce livre très fort, Bernhard Schlink dresse le portrait de l’ex-Allemagne de l’Est et fait un bilan peu réjouissant de la réunification. 

Comme dans ses précédents livres, Bernhard Schlink parvient dans un style simple à décrire des sentiments complexes. Son intrigue avance à pas feutrés. 

Je recommande ce livre !

Tu connais les livres de Bernhard Schlink ?

A LIRE : Le Masque et la Plume

Résumé de la maison d'édition

À la mort de son épouse Birgit, Kaspar découvre un pan de sa vie qu’il avait toujours ignoré : avant de quitter la RDA pour passer à l’Ouest en 1965, Birgit avait abandonné un bébé à la naissance.

Intrigué, Kaspar ferme sa librairie à Berlin et part à la recherche de cette belle-fille inconnue. Son enquête le conduit jusqu’à Svenja, qui mène une tout autre vie que lui : restée en Allemagne de l’Est, elle a épousé un néo-nazi et élevé dans cette doctrine une fille nommée Sigrun.

Kaspar serait prêt à voir en elles les membres d’une nouvelle famille. Mais leurs différences idéologiques font obstacle : comment comprendre qu’une adolescente, par ailleurs intelligente, puisse soutenir des théories complotistes et racistes ? Comment l’amour peut-il naître dans ce climat de méfiance et de haine ?

Cette rencontre contrariée entre un grand-père et sa petite-fille nous entraîne dans un passionnant voyage politique à travers l’histoire et les territoires allemands. Plus de vingt-cinq ans après Le liseur, Bernhard Schlink offre de nouveau un grand roman sur l’Allemagne qui sonde puissamment la place du passé dans le présent, et nous interroge sur ce qui peut unir ou séparer les êtres.

La petite-fille de Bernhard Schlink aux éditions Gallimard traduit par Bernard Lortholary - 352 pages

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